Appartement du Professeur Williams.

Le cour de métamorphose du Professeur Flora Carrow touchait à sa fin, pour les élèves de Serpentard et de Gryffondor il était temps de sortir et de se rendre dans leurs salles communes pour se reposer avant le dîner. Pour Déspina ce fut une toute autre occupation qui lui vint à l'esprit : Elle voulait aller rendre visite à son petit ami et professeur de Potions Aylen Williams. Elle ne l'avait pas fait depuis bien deux à trois jours, puisque leur relation avait fait beaucoup de bruit et qu'elle était en pleine révision des BUSES. Ce soir si elle s'y rendit, allant frapper à ses appartements, toujours équipée de ses affaire de cours.

{Déspina Rogue à Aylen Williams}

Aylen, professeur de potions et, directeur de la maison des Serpents, se trouvait dans son labo à concocter plusieurs potions que Mme Pomfresh lui avait mandé.
Il avait passé une horrible journée et, avait manqué de tuer plusieurs de ses collègues et élèves.
En effet, par il ne sait quelle lubie, la directrice avait décidée qu'il serait une bonne idée de crée un tutorat. Et bien entendu, elle s'était empressée d'inscrire le nom du jeune professeur en tête de liste, trouvant que les autres maisons étaient beaucoup trop à la traîne. Et, sinon, cela n'aurait pas été drôle, elle avait jugée bon de ne pas lui en toucher mot, pour son plus grand plaisir!
Il avait donc passé sa journée à être harcela par il ne sait combien de nombre d'élèves qui lui courraient après pour le supplier d'accepter de répondre à son rôle de tuteur. Mais, Aylen Williams était loin d'un tuteur, plutôt un meurtrier dans l'âme. Et c'est en une journée qu'il avait manqué de tuer l'entièreté du château, en commençant par Clarion Owens-Peter.

Lorsque quelqu'un frappa à la porte de ses appartements, il soupira et déposa plus violemment qu'il n'aurait dû, la fiole sur laquelle il travaillait.
Il se dirigea vers le pallier en fermant la veste de son veston, au summum de l'exaspération et ouvrit violemment la porte.

"QUOI?!"-demanda-t-il avec colère.

Le visage du professeur se radoucit quelque peu en voyant que ce n'était qu'autre que sa petite-amie et il la fixa, de ses yeux froids.

"Déspina, vous n'êtes pas en train de réviser vos BUSE?"

(Désolée, j'ai voulu me connecter sur deux personnages différents, mais si je n'ouvre pas de fenêtre de navigation privée, les deux liens se connectent sur le même compte.

Je répondrai à ta réponse avec Aylen cette fois, promis )

{ Je sais pas avec qui je suis connectée, sûrement pas avec Déspina. On sera deux à discuter avec quelqu'un d'autre haha! }

Elle se doutait bien que l'attitude de Aylen ne serait pas souple à l'entente de ses tocs à la porte. Il était sûrement entrain de travailler durement sur des potions et n'avait pas l'intention de recevoir quelqu'un. Et puis, elle connaissait la nature de son petit-ami. Il était d'une tension qui dépassait largement les ampoules électriques elles-même.
Lorsqu'il ouvrit la porte, un bruit de grincement se fit et il apparut, beuglant avec hargne ce mot " QUOI ?!". Elle leva un sourcil et le regarda avec un air interrogateur avant d'écouter sa question :

- Et bien non, comme vous le voyez, je ne révise pas, je vous rends visite, mais si ma présence n'est point voulue, je peux me rentrer dans ma salle commune. J'y ai songé avant de me dire que l'amour que je vous porte mérite un acte spontané...
Lui répondit-elle, simplement, croisant les bras sur son ventre.

Aylen fixa son élève, appuyé contre l'encadrement de la porte de ses appartements, l'observant de ses yeux froids.

"Passez-moi votre discours niais, miss Rogue. J'ai à faire, à part me voir et passer votre heure dans mes bras, vous ne désirez rien d'autre?"

Il la fixa, attendant sa réponse.

Elle maintient le regard de son petit-ami, esquissant un sourire en coin, comme pour lui montrer Ô combien elle avait d'autres idées derrière la tête, mais tous avait un rapport avec le fait d'être dans ses bras :

" Peut-être seulement l'envie de vous embrasser, comme je ne l'ai pas fait depuis si longtemps, Professeur... "

Elle attendit de voir sa réaction.

Il la fixa puis glissa ses mains dans les poches de son pantalon.

"Miss Rogue, j'ai des choses à faire, qui vous dit que je vais succomber à votre charme?"

(Simple test pour voir ma signature)

La jeune femme effectua un sourire en coin, de ses lèvres maquillées de rouges, elle était amusée puis qu’à chaque fois, il montrait de la résistance, mais finissait par tomber littéralement pour sa passion. Elle s'approcha de son Professeur et le regarda dans les yeux, approchant son visage au maximum du sien, elle murmura, ses lèvres prés des siennes :
" Qui me dit que vous allez succomber à mon charme ? Vous même. "

Il arqua un sourcil et se recula d'un pas, lui laissant encore la possibilité d'avancer, et donc, d'entrer dans son appartement.
"Ne pensez pas que je vous suis totalement acquis, miss Rogue."

Elle haussa les épaules et s'avança dans l'appartement, faisant un peu plus décaler le Professeur Williams en lui donnant un léger coup de hanche.

"Vous m'êtes acquis, entièrement, c'est garantie. "

Il attrapa fermement son poignet et l'empêcha d'avancer encore plus.

"Vous n'irez nulle-part, Miss Rogue."-annonça-t-il de sa voix froide.

Elle ne fut toujours pas surprise du comportement d'Aylen, qui allait être sur la défensive et s'opposer à elle jusqu'à qu'il cède à toute tentation. Elle se retourna vers lui quand il saisit son poignet, et elle vint de nouveau, très proche de lui, glissant ses mains sur ses hanches du bout des doigts :

" On joue encore au chat et à la souris c'est ça ? "

Il fronça les sourcils en se sentant frissonner, se perdant dans ses magnifiques yeux.

"Je n'ai pas envie de jouer, aujourd'hui."

Elle posa son visage dans son cou avant de souffler, avec tout autant de douceur :
" Alors si on ne joue pas, j'ai quand même le droit à un peu de tendresse?"

Il frissonna et ferma les yeux, se laissant aller contre son corps, pas complètement mais assez pour lui faire croire qu'elle avait emporté la victoire.

"Uhm.."

Il inspira et ferma les yeux, faiblissant lentement à ses côtés. Non, elle ne gagnerait pas, pas cette fois, elle serait perdante, ce soir.
Il grogna et, la repoussa.
"J'ai du travail."-répéta-t-il sèchement.